Délices et supplices d'Anaïs

 

Les contes d'Anaïs

Publié dans : Les contes d'Anaïs
Jeudi 29 mars 4 29 /03 /Mars 23:30

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : Le sexe sans tabous

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Dimanche 8 janvier 7 08 /01 /Jan 22:49

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : Maitre Gone

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A venir, un conte d'Anaïs 

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Jeudi 23 décembre 4 23 /12 /Déc 01:04

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : Maitre Gone
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Il est 6 heure du mat', Anaïs se lève et se prépare pour son entretien d'embauche. Elle ne veut rien laisser au hasard, mais elle est loin de se douter, que cet entretien va être un peu différent, car c'est pour un emplois de secrétaire.
Elle est prête à partir, un dernier regard dans le miroir :  elle porte un string et soutien noir à balconnets, un chemisier noir, une jupe droite, des bas auto fixants et escarpins, comme il faisait un peu froid, elle avait endossé un imper resserré à la taille.
 
Une demi heure plus tard, elle entre dans le hall d'entrée et se présente au bureau d'accueil, une dame lui dit d'attendre, il y a de petites caméras dans le couloir qui, pense-t-elle, surveillent peut-être son comportement.
 
L'attente semble interminable, mais moins de dix minutes plus tard un homme sort de son bureau et invite Anaïs à entrer.
 
Asseyez-vous ! lui dit-il sur un ton plus que chaleureux,
 
Il y avait trois messieurs très distingués, dont l'homme qui l'avait accueilli. Par contre les deux autres hommes ont les traits durs, et semblent la déshabiller du regard. Elle enlève son manteau et s'assoit. L'un d'eux lui dit : Tenez-vous bien droite et décroisez les jambes.
 
Elle n'était pas certaine d'avoir bien compris, car ce genre de discours l'avait étonnée.
 
- M'avez-vous comprise, Mademoiselle ?
 
- Oui Monsieur, dit-elle, et elle fit ce qu'il avait demandé.
 
Ils commencèrent à poser tout un tas de questions en rapport avec son futur travail, elle répondait en faisant mine d'être calme mais, l'entrée de jeu l'avait troublé. Puis d'autres questions plus intimes se sont glissés entre les questions professionnelles.
 
-  Vivez-vous seule ? si oui avez vous des relations sexuelles ? et combien par semaine ? qu'elles sont vos goûts pour la gente masculine ? aimez-vous les fellations ?  
 
Elle tentait de répondre, elle savait qu'elle pouvait refuser cet interrogatoire gênant et très intime, mais elle avait besoin de cet emploi, du coup elle donnait des réponses à leurs questions, non sans rougir, et elle bafouillait.
 
- Que portez-vous sous votre jupe ?
- Un string, Monsieur.
- Soyez aimable de nous mettre debout et de remonter votre jupe, l'un d'eux lui dit sur un ton directif mais en restant aimable.
 
Elle était pétrifiée, mais il y avait toujours cette petite voix en elle qui lui disait qu'elle avait besoin de ce job. Alors lentement elle s'exécute, et offre à la vue de ses messieurs un spectacle qui semblait leur plaire, d'autant plus qu'elle se sentait troublée, et humiliée.  
 
- Maintenant, tournez-vous ! que l'on voit l'autre partie de votre anatomie.
- Bien ! cambrez-vous un peu plus ! dit l'un des trois homme.
- Si on vous demandait d'ôter votre string, le feriez-vous ?
 
Là, c'était vraiment trop, elle semblait n'avoir pas entendu, si bien que l'homme repris ça question.
 
- Je ne sais pas, Monsieur, mais s'il le faut vraiment, dit-elle.
- Bien ! dans ce cas on attend, Mademoiselle, lui disaient-ils en coeur.
 
Elle fit glisser son string, jusqu'à ce qu'il tombe sur ses escarpins.
 
- Bien rester comme ça, et ouvrez votre chemisier, ce serait bien que nous tous ici, voyons ce qu'il se cache là-dessous.
 
Elle défait les boutons un à un, et se demande quand tout ça, va s'arrêter, et comment va-t-elle faire si elle travaille dans cette boîte, si elle sera leur jouet sexuel ou pas. Elle en est même à se demander si elle leur plaît, car ils ne font pas de commentaires, négatifs ou positifs.
 
Maintenant que son chemisier est ouvert, ils se lèvent tout les trois, et s'approchent. Elle frissonne, la peur l'envahi, mais elle est aussi excitée au fond d'elle, mais tente de leur cacher cet état.
 
L'un d'eux empoigne ses seins et les sort des bonnets, il sourit en les regardant, car malgré elle, ils montrent une excitation naissante. Un autre lui ordonne de mettre les mains sur la tête, et la fesse car elle ne va pas assez vite. Le troisième, glisse une main sur son mon vénus, car il est lisse comme une peau de bébé, et semble apprécier.
 
Et soudainement, il se passe quelque chose à laquelle, elle ne s'attendait pas, les trois hommes s'éloignent. Et la laisse là au milieu de la pièce, ils discutent entre eux à voix basse. Puis l'un d'eux appelle par téléphone, une secrétaire qui ne tarde pas à arriver. Anaïs se sent vraiment gênée, tente d'éviter du regard cette dame d'un certain âge aux traits sévères, qui la scrutait, mais semblait habituée à ce genre de situation.
 
Elle apportait des documents qui ressemblaient à des contrats, qu'elle laisse sur le bureau, la voilà qu'elle sort. Anaïs est soulagée de la voir partir, quant aux trois hommes, ils lui disent de s'habiller, sauf le string.
 
- Ramassez votre string, Mademoiselle, essuyez vos lèvres que j'ai senti mouillée sous mes doigts et posez-le sur le bureau, asseyez-vous !
 
Anaïs s'empresse de faire tout ce qu'un des hommes lui a dit de faire, et une fois assise, elle attend que ces messieurs reprennent  leur place et voilà que l'un d'eux reprend la parole.
 
- Bien ! nous avons décidé tous trois que nous vous engageons. Félicitation !
Un autre prend la parole et dit :
 
- Vous pouvez signer les contrats, et vous trouverez le règlement de travail et un autre règlement que vous feriez bien de lire attentivement, c'est "notre" règlement d'ordre intérieur.
 
- Merci beaucoup, Messieurs, dit-elle en tout en signant avec une petite voix.
 
- Alors à demain, 8 h,  Anaïs, disent-ils en coeur en arborant des sourires salaces et sadiques, et l'un d'entre eux fit tourner le string autour de son doigt.
 
Au moment de sortir, Anaïs, tentait d'éviter les regards des employés qui la croisaient dans le couloir qui semblaient plus long soudainement. Elle avait l'impression que tout le monde la scrutait, et qu'ils savaient...
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Récit écrit sur le vif par Anaïs Dessens
 
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Mardi 22 juin 2 22 /06 /Juin 19:18

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : Maitre Gone

 

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Anaïs allait sur ses 18 ans, elle était jolie appétissante et si innocente au point qu’elle était tombée follement amoureuse de cet homme de âgé de 45 ans, il était autoritaire, vicieux, pervers et sans scrupule. Elle partageait sa vie avec lui depuis quelques mois. Il tenait une taverne et elle y travaillait évidemment.
 

Un homme avait poussé la porte de établissement et est venu s’installer au comptoir, et la regardait, il la déshabillait même du regard, jusqu’à se sentir gênée. Ce type aux allures de bûcheron, que ressemblait à un nain de jardin grandeur nature, mais bien plus imposant encore !

Il se montrait très jovial, et engagea très vite une conversation courtoise avec elle, pour en arriver à révéler qu’il était photographe amateur, et qu’il n’est pas venu là par hasard. Sa démarche était de lui demander si elle accepterait de poser pour lui, sans préciser quel genre de photos il faisait.

Elle n’eût pas le temps de répondre, que son amant répondit que c’était possible et toujours sans la consulter, un jour et une heure furent fixées par les deux hommes. Le jour venu, elle s’était préparée et habillée pour se rendre à cette fameuse séance photos, elle était également conviée à diner là.

Au moment de partir, son amant lui annonce qu’il fallait qu’elle y aille seule sans donner plus d'explication à cette raison, une panique grandit au fond d‘elle, mais elle savait qu’il ne servait à rien de discuter, par crainte d‘éveiller sa colère...!

Il a jeté un regard sur sa tenue, elle était vêtue d’une petite jupe plissée noire, des bas nylon attachés à un porte jarretelle, un petit pull cache-cœur et moulant dans les tons crème, un soutien gorge et le petit slip assortis. Mais, il s’approcha et lui fait enlever son soutien et son slip, disant que ce n'était pas nécessaire, et qu’il fallait qu’elle sache une bonne fois pour toute, qu'à présent, il voulait que les hommes et les femmes remarquent ses seins danser à chaque pas qu‘elle ferait.

Sa jupe était vraiment mini, du coup, ses mouvements étaient restreints, si elle ne voulait pas que l’on constate sa nudité sous sa jupe. Elle avait pris un imper car il risquait de pleuvoir, mais il lui tendit un parapluie et lui confisquait mon imper, ce qui lui enlevait tout espoir de s’en servir pour se couvrir un peu plus, quelques rues plus loin dès qu'il aurait le dos tourné.

Elle est donc sortie chaussée d’escarpins à talons hauts, dans ces rues pleines de pavés ce qui n’était pas pratique, elle n’était pas une habituée des talons. De plus, sans sous-vêtement, elle avait la sensation étrange que tous les passants la regardaient et savaient.

Elle les fuyait et fuyait aussi leurs regards insistants. Elle voulait presser le pas, mais elle n’osait pas non plus allez trop vite, car ses seins dressaient déjà à cause de la laine du cache cœur qui lui chatouillait et agaçait les tétons, et plus elle avançait dans ces rues étroites, plus sa poitrine offrait un spectacle attraillant aux passants. Elle avait la sensation qu’on ne voyait qu‘elle et ses seins, elle avait tellement honte, et pour couronner le tout, elle se sentait humide entre les cuisses, il ne fallait surtout pas qu'elle dégouline pour couronner le tout...

Arrivée au studio du photographe, il n’y avait aucun moyen d'avertir qu'elle était arrivée, aucune sonnerie, elle se mit alors frapper à la porte qui était entre ouverte, personne ne répondit. Elle est entrée avec hésitation et demandait à plusieurs reprises, s’il y a quelqu’un.

L’homme aux allures de bûcheron s'apporchait avec un essuie de vaisselle dans ses grosses paluches, il souriait gentiment et l’invitait à pénétrer dans une immense pièce meublée partiellement avec d'étranges meubles le tout dépareillé, mais qui faisait bien studio de photographe, un endroit hallucinant, ce n'était pas un appart. Voyant le regard étonné d'Anaïs, le bûcheron lui présisait que jadis ce fut une ancienne brasserie désaffectée et retapée...

Il y avait un salon confortable dans un coin de la pièce, une salle à manger dans un autre coin, il y avait un Hamac en filet suspendu, un lit pour deux personnes sur roulette, des rouleaux de papier de différentes couleurs pour les fonds d’écran et bien d‘autres objets étranges...!

Une musique de fond assez mélodieuse passait sans vraiment qu‘on y prête attention. Plus loin, une toute petite pièce qui servait de cuisine, il avait dû préparer le diner lui même apparemment.

Des bruits de pas ont sorti Anaïs de ses réflexions. Un autre homme venait d'entrer dans la pièce il se présentait comme photographe lui aussi, il était de taille moyenne, un style plus sophistiqué que le bûcheron et bien moins agréable, et plus arrogant.

Elle espèrait que personne d'autre viendrait s'ajouter à la séance si ce n'est son amant, mais il ne viendrait pas elle le sentait, elle était inquiète des évènements à venir.

A peine cet homme avait-il déposé ses affaires, qu’il lui dit sans ménagement, de se mettre nue, sans même la regarder, elle le fit avec hâte, mais non sans gêne, parce qu’elle avait peur de sa réaction et qu'ils parlent d'elle négativement au près de son amant.

 Pour se rassurer, elle se dit qu’il a dû voir un tas de femmes nues. Toute fois, elle avait peur de son verdict. Lorsqu’elle fut dévêtue, il fit se mit à tourner autour d'elle, le seul son qui sorti de sa bouche, fût un : « Hum ! ».

Elle se sentait de plus en plus humiliée et avait envie de s‘enfuir, mais elle n’osait pas non plus à cause de son amant, colérique.

Cet homme appela le bûcheron, et lui dit : « Que fait-on ? on la met dans le hamac pour commencer ? ».

Et le bûcheron haussa les épaules et hochait la tête pour acquiesser.


- « Allez, allonge-toi et fait dresser tes tétons » lui dit-il sur un ton sec, en indiquant le hamac, entre temps, il avait installé une échelle sur laquelle il est monté avec son appareil, il commençait à prendre quelques clichés. Puis il s’arrêta net, et l’observait d’un air perplexe.
- « Non ! ça ne va pas, il manque quelque chose !!! » s’exclama-t-il. Inquiète, elle se demandait ce qu’il se passait. Le type descendait de l’échelle pour s’approcher d’elle et la regardait droit dans les yeux.
- « Tu permets ? je vais faire éclore ta jolie fleur...! ».

Stupéfaite, elle n’eût pas le temps de comprendre le sens de sa demande, que du bout de doigts et enclin d’une infini délicatesse, il écartait les lèvres, la vulve, et mit en évidence son clitoris en le décalotant, elle sentait des ondes tétanisantes parcourir son sexe et elle sursauta car elle ne s’attendait pas à ressentir un tel effet et ce, bien malgré elle, ce qui la gênait beaucoup.

Il s’en aperçut rapidement et eût un sourire satisfait, mais condescendant envers elle, ce qui la mit encore plus mal à l’aise. Il fit un tas de clichés, et appela son ami et lui demanda de saisir ses seins et de les faire dresser à nouveau, sur un ton agacé.

- « Oh non, pas ça ! » se dit-elle
Mais ça n’était rien à coté de ce qui suivrait, car le bûcheron suggéra à son ami de dépouiller se sexe de ses poils pour le rendre lisse et offert entièrement à l’objectif. Il l’ont invité à s’allonger sur une immense table de bois, pendant que le bucheron la plaçait pour l’attacher avec des chaînes qui traînaient au sol, mais qu’elle n’avait pas remarqué, l’autre préparait ce qu’il fallait pour rendre son mont vénus complètement imberbe.

Et c’est lorsqu’elle vit le rasoir ancien qu’elle comprit pourquoi on l’avait attachée des jambes de façon à ce qu‘elles soient bien écartées, et qu'elle reste immobile.

Au moment où elle sentit la lame si dangereusement coupante, elle frémissait de peur et d‘excitation si intense, que son sexe dégoulinait malgré elle.

En plus elle venait de se rendre compte que le bûcheron immortalisait ces instants et les traits de son visage qui trahissait un début d’orgasme, tout en faisant des commentaires crus et éloquents à son sujet. Selon leurs propos, elle n’était qu’une petite salope, une petite cochonne qui aimait le sexe.

Evidemment son amant qui les avait appelé 10 min avant son arrivée, pour leur dire qu’elle était toujours si chaude et si chienne, si bien que les deux hommes voulaient apparemment profiter de cela pour réussir leur clichés sur le thème de l’orgasme féminin.

Maintenant que le sexe était bien lisse, offert et enflé par l'excitation et le feu du rasage, l'un d'eux proposait une pause apéro, arrivés au coin salon, l'homme lui ordonna où de s'assoir en face d’eux.

 Elle avait un verre de vin blanc en face d’elle, le bucheron s’éclipsait de temps à autre pour surveiller la cuission. Et l’autre posait des questions indiscrètes sur la vie d’Anaïs, elle répondait poliment, mais comme elle était nue et qui plus est, le sexe totalement offert à son regard vicieux maintenant qu'il était rasé de près, ajouté à celà, qu'il avait déjà réussi à donner un orgasme et qu'elle en était honteuse, elle n’osait pas trop affronter le regard pervers et hautain de cette homme, tandis qu’elle continuait de répondre, elle s’est rendu compte qu’il l’avait coupé dans son élan.


« Ecarte ! » lui dit-il, tandis qu’elle restait ébahie et compris qu’elle devait lui offrir une vue plongeante sur cette écrin rose encore luisant du nectar qui continuait à l’humidifier sans cesse. L’homme saisi son appareil et lui dit de finir ce qu’elle disait sans prêter attention au fait qu’il la photographiait, ça la troublait elle ne pouvait plus se concentrer et lui avec ses paroles troublantes et son appareil photo allait réussir à la plonger dans une sorte d’extase qu’elle ne connaissait pas...mais que lui arrivait-il ?

Puis, le bûcheron arriva et dit qu’on avait encore le temps de choisir un endroit pour quelques autres clichés. Et là, ils se regardèrent et d’un air conspirateur, ils se tournèrent vers la jeune Anaïs pour lui laisser l’honneur de choisir le thème. Elle ne saurait dire pourquoi, mais sans réfléchir elle désigna le lit. étonnés mais satisfait par le choix de la jeune fille, ils amenèrent le lit au milieux de la pièce, et d’un geste l’ont invité à prendre place, dans ce lit aux draps de satin d’un bleu affreux.

Et l’un deux lui offrit une plume de paon, pour qu’elle se caresse avec. Elle trouvait ça un peu ridicule, entre temps avec la chaleur de la pièce, ses seins ne dressaient plus, et l’un deux vint s’allonger près d’elle et l’autre fit la même chose de l’autre coté.
Elle était mal à l’aise et se demandait ce qu’ils allaient lui faire, et chacun d’eux se mit en œuvre d’exciter un téton, mais aucun d’eux y parvenait et ça les agaçait apparemment.

Tout est passé : les glaçons, titillements, mordillements, pincements, mais rien n’y faisait.

Il semblait à la jeune Anaïs qu’ils peinaient bien inutilement Mais le bûcheron en a eu assez et est allé chercher une sorte de petite bombe dans laquelle il y avait un truc refroidissant et ça a fonctionné apparemment mais Anaïs se sentait un peu comme un objet, une sorte de poupée maléable et elle avait envie de partir dès que possible sans manger avec ses deux pervers.

Puis les flash de l’appareil l’ont aveuglé à nouveaux, de plus le mec hautain était resté allongé près d’elle et s'était déjà mis torse nu, le bûcheron les mitraillaient, prenait un tas de photo, alors que l’autre se mit en œuvre de lui frôler son sexe dénudé, il l’effleurait et Anaïs sentit monter en elle un orgasme incroyable alors que lui la touchait à peine.

S’en été assez, se dit-elle, elle n’en pouvait plus d’être humiliée de la sorte par ces deux types qu’elle ne connaissait même pas. Alors, d'un bond elle s'est levée, elle s’habilla et s'enfuit dans la nuit fraîche. Elle était en rage, mais une sensation étrange par le fait d’avoir son sexe lisse et sans slip, lui fit appaiser sa rage, elle pouvait sentir le vent qui venait la caresser, ses seins étaient si tendus qu’ils en étaient presque douloureux.

Son visage devait paraître curieux, car elle avait pleuré, tout comme son allure défaite, car elle s'était habillé avec hâte. si bien qu’un homme venait de traverser la rue pour l'interpeler et l’arrêta pour lui dire sans retenue qu’elle l’excitait et qu‘il avait envie d’elle.

Anaïs pressa le pas, mais il la suivait et lui dit qu’il ne voulait pas être impoli, mais qu’il exprimait juste son désir de lui parler et qu'il était inquièt de voir une dame si jolie en train de pleurer dans la nuit. Et là, elle le fixa les yeux vitreux rempli de larmes, il la prit dans ses bras et l’emmena chez lui, il lui servit un café, il s’assit à coté d’elle et lui demanda de l’excuser tout en lui séchant les larmes. Il l’enlaça avec tendresse et peu à peu elle se détendait et lui rendait cette tendresse. Pour plonger soudain dans un tourbillon de troubles et de sensualité et d’extases durant toute la nuit.

Lorsqu’elle s’éveilla, il dormait encore, elle ne savait ni quelle heure il était, ni où elle était. Mais elle savait une chose, c’est qu’elle était morte de peur à l’idée de rentrer chez elle.

 

Publié dans : Les contes d'Anaïs
Dimanche 30 mai 7 30 /05 /Mai 14:58

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : La Femme, en Photographies

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C'est le toutou de ma meilleure amie, j'ai un peu retouché et travaillé la photo.

Publié dans : Les contes d'Anaïs
Mercredi 14 avril 3 14 /04 /Avr 22:16

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : Le sexe sans tabous

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Publié dans : Les contes d'Anaïs
Lundi 22 mars 1 22 /03 /Mars 20:53

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : Maitre Gone
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A venir...

L'histoire d'une rencontre entre la Divine féline d'un donjon virtuel et de son fidèle, le seul et unique Marjordome de cet antre des vices et malices.
Publié dans : Les contes d'Anaïs
Mardi 16 mars 2 16 /03 /Mars 11:33

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : plaisirs SM
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Ô nous les amateurs d'un monde de douleurs et de sévices, de supplices et de délirs et délices serions-nous des candidats pour ces maisons où ces hommes et femmes en blouses blanches décortiquent et netttoient nos cervelles de ces démons ou pulsions ?

Sommes-nous (nous les adeptes du SM, BDSM, ou du monde Fetish) des tordus, des malades mentaux, des dépravés et que sais-je encore ?

Alors, moi Anaïs DESSENS, je déclare que je tiens à laisser mes démons et pulsions dans ma cervelle et dans mon corps, qu'ils m'envahissent chaque jours et qu'ils fassent de moi ce que je suis, et fière de l'être : une adepte du BDSM, SM et Fétichisme...!

Et pour vous qu'en est-il ?
Publié dans : Les contes d'Anaïs
Mardi 16 mars 2 16 /03 /Mars 00:32

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : Maitre Gone

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C'était un jour comme tant d'autres et Anaïs avait rendez-vous chez un gynécologue pour un contrôle de routine.
Le rendez-vous avait été pris vite fait chez un médecin qu'elle ne connaissait pas car elle souhaitait en changer.
Elle se rendait à l'adresse indiquée, la bâtisse était vieille avec une immense porte en bois. Elle sonne, la porte s'ouvre, elle entre dans un très grand couloir au plafond haut, qui donne des sensations d'échos, le couloir servait de salle d'attente, en face du cabinet du médecin, il y avait une petite pièce qui servait de bureau où se tenait une femme d'âge mûr qui s'affairait à une machine à écrire faisant un bruit d'enfer.

Anaïs n'eût pas le temps de s'asseoir que la porte s'ouvre et le médecin l'invitait à entrer et à s'asseoir, elle n'a pas le temps de lui dire quoique ce soit, voilà qu'il entre dans un discours très déroutant et quelque peu troublant...!


Elle n'était pas sûre d'avoir bien saisie, tellement son discours paraissait hallucinant. Il était question que lui et d'autres médecins fassent partie d'une élite qui "palpent" les seins pour la prévention des cancer. Mais le ton qu'il utilisait était étrange, si étrange, qu'il semblait à Anaïs qu'elle l'avait rêvé.

Après qu'il eu terminé ses explications, il l'invita à se rendre dans un petit espace fermé par de simples tentures foncées et usées, où elle devait se dénuder entièrement selon lui, elle lui obéit, non sans hésitation, mais bon puisqu'il souhaitait faire un contrôle total, selon ses dires.

Une fois nue, alors qu'elle avançait dans la pièce pour aller s'installer sur la table, elle le surprit occupé à la détailler, mais pas avec un regard médical, mais un regard pervers et c'est là qu'il lui fit signe de rester debout, qu'il se mit à tourner autour d'elle, et il lui dit :"Vous êtes bien bronzée, et vous avez de belles formes", suivit d'un hummmm...!
La jeune Anaïs rouge de honte était figée...

D'un geste de la main, il lui fit signe de s'installer sur la table et de placer ses pieds dans les étriés et de mettre ses bras vers l'arrière. Il continuait contempler son corps de façon perverse, et il entreprit de lui palper un sein, comme s'il s'agissait d'un examen classique, mais peu à peu, Anaïs sentait que les grandes mains de ce médecin d'âge mûr se balladaient sur les courbes; non plus en les palpants mais en les frôlants, comme il aurait pu le faire avec deux pamplemousses saisis sur un étal de marché avant de s'en délecter.

Ses pointes se dressaient, elle aurait voulu ne pas lui donner ce spectacle, mais il avait la dextérité d'un masseur qui connaissait par coeur le corps de la femme...

Un "hum" de satisfaction sorti de la bouche de cet homme, mais il s'arrêtait là, comme s'il voulait laisser une frustration au désir montant d'Anaïs, quoique dans un sens, elle fût soulagée que ce manège prennent fin, mais apparemment, ce n'était que temporaire. Car soudain elle sentit pénétré en elle quelque chose de métallique et froid qui n'était autre qu'un spéculum qu'il écartait au maximum, puis il s'en alla rejoindre son bureau au lieu de s'occuper du frotis et de lui dire d'aller s'habiller, non !

Elle commençait à s'inquiéter vraiment lorsqu'elle remarqua qu'il semblait admirer se sexe offert et ouvert à souhait, et qu'elle était à sa merci. Bien qu'elle n'était pas attachée, il y avait cet sorte d'autorité à laquelle un patient se sent contraint d'obéir.

Une sorte d'abus de pouvoir s'installait, et elle se rendait à l'évidence qu'elle était à lui le temps de la consultation et ce malgré elle. Quand enfin, il se décidait à se lever, pour rejoindre la table où se trouvait Anaïs, elle ne savait pas si elle devait se sentir soulagée ou s'inquiéter encore plus. Il avait le rictus de quelqu'un qui avait encore plein de malices dans son sac.

Et voilà qu'il appelle la secrétaire qui se trouvait dans l'autre pièce...! Mais qu'allait-elle encore subir, cette pauvre Anaïs ?


A suivre.

Publié dans : Les contes d'Anaïs
Lundi 15 mars 1 15 /03 /Mars 20:56

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : PLAISIRS BDSM
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Publié dans : Les contes d'Anaïs
Lundi 15 mars 1 15 /03 /Mars 20:44

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : plaisirs SM
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Publié dans : Les contes d'Anaïs
Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 12:52

Par Délices et supplices d'Anais
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Ridicule sont ceux qui se prennent tellement au sérieux, qui se font appeler "Maître" ou "Monsieur", alors qu'ils en sont à devoir monter des plans foireux et arnaquer les gens, pour arriver à vivre leurs petits fantasmes qu'ils n'assument même pas à jusqu'au bout.

Ce sont des illusionnistes à courts termes, même pas des "Maîtres" de l'illusion, car le S.A.V n'est même pas assuré, c'est con ça !

Le ridicule ne tue pas, nonnnnnn !

Il nuit parfois aux autres, à ceux qui accordent leur confiance à ces personnages; qui par leur charisme et leur prestence de la première rencontre arriveraient à faire signer un pacte avec diable au plus incrédule qui passe à ses cotés, bien qu'il vaut mieux avoir affaire au diable au moins, on est pas déçu du voyage.

Et quand on "oz" établir des soit disant contrats de soumission et qu'on a la trouille que sa chère et tendre (qui est la "madame" ou la "maîtresse" soit disant si sexy si féminine, mdr ! non là désolée mais je suis pliée, je vous laisse découvrir ça ! ça vaut le coup d'oeil), je m'égare et je reprends...

Je disais que lorque le petit "maître" n'-oz- pas montrer le contrat de la soumise qu'il "domine" (bon pour lui c'est un grand mot), car le dit contrat parle de sexe et que la "madame sexy" ne veut pas entendre parler de sexe dans toutes rencontres SM, Là, c'est le pompon (puisqu'en plus, elle surveille, et veille que le sexe -du moins ce qu'il reste du sexe- de son cher mec, ce pseudo maître, ne s'en aille pas comme un pétard mouillé à la recherche de plus, plus, plus sexy et féminin orifices que sa chère femme ).

Et selon le petit "maître de pacotille" il n'y a pas de sexe dans le sm ou bdsm, ce sont les échangistes qui ont inventés ça...!

C'est qu'il va réécrire les codes et la nouvelle vision du SM, le monsieur !!!

Mais il a un code suprême, qu'il aime faire respecter par dessus tout c'est : "Fais ce que je dis, mais surtout pas ce que je fais".

L'hypocrysie et la manipulation sont ses deux vecteurs.

Le petit -maître- est vraiment un virtu...oz de la manipulation cérébrale en tout point, sauf qu'il est pas beau, et il ne vaut plus rien, le pauvre n'-oz- même pas aller aux rdv seul. Il lui faut son petit bulldog français, si sexy et si féminin pour assurer ses arrières. Hé hé hé !

De plus, son petit coeur -au bout d'un temps- flanche, enfin selon les situations et ne vous m'éprenez pas c'est surtout quand ça l'arrange ou l'arrange pas, il a une santé si fragile sur commande, surtout quand vous ne rentrez plus dans son jeu machiavélique...!

Attention au plan vacance !!! il vous proposera monts et merveilles, un plan d'enfer, tant que vous aurez une grande maison, des idées et surtout du pognon et une boule dans la bouche et les pieds et poings liés, vous serez son super pote.

Mais la baguette magique s'est éteinte, et moi j'-oz- vous en parler, et j'oz assumer mes dires, c'est la réalité, vous n'êtes pas obligés de me croire, dans ce cas tentez de constater vous m'en direz des nouvelles.

Bises félines

Anaïs

PS : Ceci est une info, non pour casser une personne, mais elle sert pour de la prévention. S'il existe un site de plainte pour les soumis(es), je voudrais bien le connaître. Non par méchanceté, mais par honnêteté.
Publié dans : Les contes d'Anaïs
Lundi 20 avril 1 20 /04 /Avr 01:04

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : Maitre Gone

http://energie.unblog.fr/2007/09/18/chakra-relie-a-la-terre/

Histoire de chakra : la couleur ROUGE, le son DO.


Extraits de « tout peut être guéri ». Par Brofman


Le chakra de couleur rouge est appelé
« chakra racine ».
C’est un centre d’énergie qui est situé entre les organes sexuels et l’anus.

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  • : Vous trouverez donc sur ce blog, l'évolution constante d'une Maîtresse, se livrant parfois à la soumission par ouverture d'esprit...! Et oui ! je ne suis pas conventionnelle, j'aime les nouvelles expériences, je suis ambigüe tant dans ma sexualité que dans le domaine du BDSM. Je vous invite dans mon Donjon particulier. Bienvenue dans ma demeure entrez de votre plein gré et laissez-y vos traces et marques qui resterons indélébiles sur les articles que vous aurez élu. Je me f
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  • BDSM Soumission Domination Fetish

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