Délices et supplices d'Anaïs

 

Publié dans : Les contes d'Anaïs
Mardi 22 juin 2 22 /06 /Juin 19:18

Par Délices et supplices d'Anais - Communauté : Maitre Gone

 

  18712512 p   
 
Anaïs allait sur ses 18 ans, elle était jolie appétissante et si innocente au point qu’elle était tombée follement amoureuse de cet homme de âgé de 45 ans, il était autoritaire, vicieux, pervers et sans scrupule. Elle partageait sa vie avec lui depuis quelques mois. Il tenait une taverne et elle y travaillait évidemment.
 

Un homme avait poussé la porte de établissement et est venu s’installer au comptoir, et la regardait, il la déshabillait même du regard, jusqu’à se sentir gênée. Ce type aux allures de bûcheron, que ressemblait à un nain de jardin grandeur nature, mais bien plus imposant encore !

Il se montrait très jovial, et engagea très vite une conversation courtoise avec elle, pour en arriver à révéler qu’il était photographe amateur, et qu’il n’est pas venu là par hasard. Sa démarche était de lui demander si elle accepterait de poser pour lui, sans préciser quel genre de photos il faisait.

Elle n’eût pas le temps de répondre, que son amant répondit que c’était possible et toujours sans la consulter, un jour et une heure furent fixées par les deux hommes. Le jour venu, elle s’était préparée et habillée pour se rendre à cette fameuse séance photos, elle était également conviée à diner là.

Au moment de partir, son amant lui annonce qu’il fallait qu’elle y aille seule sans donner plus d'explication à cette raison, une panique grandit au fond d‘elle, mais elle savait qu’il ne servait à rien de discuter, par crainte d‘éveiller sa colère...!

Il a jeté un regard sur sa tenue, elle était vêtue d’une petite jupe plissée noire, des bas nylon attachés à un porte jarretelle, un petit pull cache-cœur et moulant dans les tons crème, un soutien gorge et le petit slip assortis. Mais, il s’approcha et lui fait enlever son soutien et son slip, disant que ce n'était pas nécessaire, et qu’il fallait qu’elle sache une bonne fois pour toute, qu'à présent, il voulait que les hommes et les femmes remarquent ses seins danser à chaque pas qu‘elle ferait.

Sa jupe était vraiment mini, du coup, ses mouvements étaient restreints, si elle ne voulait pas que l’on constate sa nudité sous sa jupe. Elle avait pris un imper car il risquait de pleuvoir, mais il lui tendit un parapluie et lui confisquait mon imper, ce qui lui enlevait tout espoir de s’en servir pour se couvrir un peu plus, quelques rues plus loin dès qu'il aurait le dos tourné.

Elle est donc sortie chaussée d’escarpins à talons hauts, dans ces rues pleines de pavés ce qui n’était pas pratique, elle n’était pas une habituée des talons. De plus, sans sous-vêtement, elle avait la sensation étrange que tous les passants la regardaient et savaient.

Elle les fuyait et fuyait aussi leurs regards insistants. Elle voulait presser le pas, mais elle n’osait pas non plus allez trop vite, car ses seins dressaient déjà à cause de la laine du cache cœur qui lui chatouillait et agaçait les tétons, et plus elle avançait dans ces rues étroites, plus sa poitrine offrait un spectacle attraillant aux passants. Elle avait la sensation qu’on ne voyait qu‘elle et ses seins, elle avait tellement honte, et pour couronner le tout, elle se sentait humide entre les cuisses, il ne fallait surtout pas qu'elle dégouline pour couronner le tout...

Arrivée au studio du photographe, il n’y avait aucun moyen d'avertir qu'elle était arrivée, aucune sonnerie, elle se mit alors frapper à la porte qui était entre ouverte, personne ne répondit. Elle est entrée avec hésitation et demandait à plusieurs reprises, s’il y a quelqu’un.

L’homme aux allures de bûcheron s'apporchait avec un essuie de vaisselle dans ses grosses paluches, il souriait gentiment et l’invitait à pénétrer dans une immense pièce meublée partiellement avec d'étranges meubles le tout dépareillé, mais qui faisait bien studio de photographe, un endroit hallucinant, ce n'était pas un appart. Voyant le regard étonné d'Anaïs, le bûcheron lui présisait que jadis ce fut une ancienne brasserie désaffectée et retapée...

Il y avait un salon confortable dans un coin de la pièce, une salle à manger dans un autre coin, il y avait un Hamac en filet suspendu, un lit pour deux personnes sur roulette, des rouleaux de papier de différentes couleurs pour les fonds d’écran et bien d‘autres objets étranges...!

Une musique de fond assez mélodieuse passait sans vraiment qu‘on y prête attention. Plus loin, une toute petite pièce qui servait de cuisine, il avait dû préparer le diner lui même apparemment.

Des bruits de pas ont sorti Anaïs de ses réflexions. Un autre homme venait d'entrer dans la pièce il se présentait comme photographe lui aussi, il était de taille moyenne, un style plus sophistiqué que le bûcheron et bien moins agréable, et plus arrogant.

Elle espèrait que personne d'autre viendrait s'ajouter à la séance si ce n'est son amant, mais il ne viendrait pas elle le sentait, elle était inquiète des évènements à venir.

A peine cet homme avait-il déposé ses affaires, qu’il lui dit sans ménagement, de se mettre nue, sans même la regarder, elle le fit avec hâte, mais non sans gêne, parce qu’elle avait peur de sa réaction et qu'ils parlent d'elle négativement au près de son amant.

 Pour se rassurer, elle se dit qu’il a dû voir un tas de femmes nues. Toute fois, elle avait peur de son verdict. Lorsqu’elle fut dévêtue, il fit se mit à tourner autour d'elle, le seul son qui sorti de sa bouche, fût un : « Hum ! ».

Elle se sentait de plus en plus humiliée et avait envie de s‘enfuir, mais elle n’osait pas non plus à cause de son amant, colérique.

Cet homme appela le bûcheron, et lui dit : « Que fait-on ? on la met dans le hamac pour commencer ? ».

Et le bûcheron haussa les épaules et hochait la tête pour acquiesser.


- « Allez, allonge-toi et fait dresser tes tétons » lui dit-il sur un ton sec, en indiquant le hamac, entre temps, il avait installé une échelle sur laquelle il est monté avec son appareil, il commençait à prendre quelques clichés. Puis il s’arrêta net, et l’observait d’un air perplexe.
- « Non ! ça ne va pas, il manque quelque chose !!! » s’exclama-t-il. Inquiète, elle se demandait ce qu’il se passait. Le type descendait de l’échelle pour s’approcher d’elle et la regardait droit dans les yeux.
- « Tu permets ? je vais faire éclore ta jolie fleur...! ».

Stupéfaite, elle n’eût pas le temps de comprendre le sens de sa demande, que du bout de doigts et enclin d’une infini délicatesse, il écartait les lèvres, la vulve, et mit en évidence son clitoris en le décalotant, elle sentait des ondes tétanisantes parcourir son sexe et elle sursauta car elle ne s’attendait pas à ressentir un tel effet et ce, bien malgré elle, ce qui la gênait beaucoup.

Il s’en aperçut rapidement et eût un sourire satisfait, mais condescendant envers elle, ce qui la mit encore plus mal à l’aise. Il fit un tas de clichés, et appela son ami et lui demanda de saisir ses seins et de les faire dresser à nouveau, sur un ton agacé.

- « Oh non, pas ça ! » se dit-elle
Mais ça n’était rien à coté de ce qui suivrait, car le bûcheron suggéra à son ami de dépouiller se sexe de ses poils pour le rendre lisse et offert entièrement à l’objectif. Il l’ont invité à s’allonger sur une immense table de bois, pendant que le bucheron la plaçait pour l’attacher avec des chaînes qui traînaient au sol, mais qu’elle n’avait pas remarqué, l’autre préparait ce qu’il fallait pour rendre son mont vénus complètement imberbe.

Et c’est lorsqu’elle vit le rasoir ancien qu’elle comprit pourquoi on l’avait attachée des jambes de façon à ce qu‘elles soient bien écartées, et qu'elle reste immobile.

Au moment où elle sentit la lame si dangereusement coupante, elle frémissait de peur et d‘excitation si intense, que son sexe dégoulinait malgré elle.

En plus elle venait de se rendre compte que le bûcheron immortalisait ces instants et les traits de son visage qui trahissait un début d’orgasme, tout en faisant des commentaires crus et éloquents à son sujet. Selon leurs propos, elle n’était qu’une petite salope, une petite cochonne qui aimait le sexe.

Evidemment son amant qui les avait appelé 10 min avant son arrivée, pour leur dire qu’elle était toujours si chaude et si chienne, si bien que les deux hommes voulaient apparemment profiter de cela pour réussir leur clichés sur le thème de l’orgasme féminin.

Maintenant que le sexe était bien lisse, offert et enflé par l'excitation et le feu du rasage, l'un d'eux proposait une pause apéro, arrivés au coin salon, l'homme lui ordonna où de s'assoir en face d’eux.

 Elle avait un verre de vin blanc en face d’elle, le bucheron s’éclipsait de temps à autre pour surveiller la cuission. Et l’autre posait des questions indiscrètes sur la vie d’Anaïs, elle répondait poliment, mais comme elle était nue et qui plus est, le sexe totalement offert à son regard vicieux maintenant qu'il était rasé de près, ajouté à celà, qu'il avait déjà réussi à donner un orgasme et qu'elle en était honteuse, elle n’osait pas trop affronter le regard pervers et hautain de cette homme, tandis qu’elle continuait de répondre, elle s’est rendu compte qu’il l’avait coupé dans son élan.


« Ecarte ! » lui dit-il, tandis qu’elle restait ébahie et compris qu’elle devait lui offrir une vue plongeante sur cette écrin rose encore luisant du nectar qui continuait à l’humidifier sans cesse. L’homme saisi son appareil et lui dit de finir ce qu’elle disait sans prêter attention au fait qu’il la photographiait, ça la troublait elle ne pouvait plus se concentrer et lui avec ses paroles troublantes et son appareil photo allait réussir à la plonger dans une sorte d’extase qu’elle ne connaissait pas...mais que lui arrivait-il ?

Puis, le bûcheron arriva et dit qu’on avait encore le temps de choisir un endroit pour quelques autres clichés. Et là, ils se regardèrent et d’un air conspirateur, ils se tournèrent vers la jeune Anaïs pour lui laisser l’honneur de choisir le thème. Elle ne saurait dire pourquoi, mais sans réfléchir elle désigna le lit. étonnés mais satisfait par le choix de la jeune fille, ils amenèrent le lit au milieux de la pièce, et d’un geste l’ont invité à prendre place, dans ce lit aux draps de satin d’un bleu affreux.

Et l’un deux lui offrit une plume de paon, pour qu’elle se caresse avec. Elle trouvait ça un peu ridicule, entre temps avec la chaleur de la pièce, ses seins ne dressaient plus, et l’un deux vint s’allonger près d’elle et l’autre fit la même chose de l’autre coté.
Elle était mal à l’aise et se demandait ce qu’ils allaient lui faire, et chacun d’eux se mit en œuvre d’exciter un téton, mais aucun d’eux y parvenait et ça les agaçait apparemment.

Tout est passé : les glaçons, titillements, mordillements, pincements, mais rien n’y faisait.

Il semblait à la jeune Anaïs qu’ils peinaient bien inutilement Mais le bûcheron en a eu assez et est allé chercher une sorte de petite bombe dans laquelle il y avait un truc refroidissant et ça a fonctionné apparemment mais Anaïs se sentait un peu comme un objet, une sorte de poupée maléable et elle avait envie de partir dès que possible sans manger avec ses deux pervers.

Puis les flash de l’appareil l’ont aveuglé à nouveaux, de plus le mec hautain était resté allongé près d’elle et s'était déjà mis torse nu, le bûcheron les mitraillaient, prenait un tas de photo, alors que l’autre se mit en œuvre de lui frôler son sexe dénudé, il l’effleurait et Anaïs sentit monter en elle un orgasme incroyable alors que lui la touchait à peine.

S’en été assez, se dit-elle, elle n’en pouvait plus d’être humiliée de la sorte par ces deux types qu’elle ne connaissait même pas. Alors, d'un bond elle s'est levée, elle s’habilla et s'enfuit dans la nuit fraîche. Elle était en rage, mais une sensation étrange par le fait d’avoir son sexe lisse et sans slip, lui fit appaiser sa rage, elle pouvait sentir le vent qui venait la caresser, ses seins étaient si tendus qu’ils en étaient presque douloureux.

Son visage devait paraître curieux, car elle avait pleuré, tout comme son allure défaite, car elle s'était habillé avec hâte. si bien qu’un homme venait de traverser la rue pour l'interpeler et l’arrêta pour lui dire sans retenue qu’elle l’excitait et qu‘il avait envie d’elle.

Anaïs pressa le pas, mais il la suivait et lui dit qu’il ne voulait pas être impoli, mais qu’il exprimait juste son désir de lui parler et qu'il était inquièt de voir une dame si jolie en train de pleurer dans la nuit. Et là, elle le fixa les yeux vitreux rempli de larmes, il la prit dans ses bras et l’emmena chez lui, il lui servit un café, il s’assit à coté d’elle et lui demanda de l’excuser tout en lui séchant les larmes. Il l’enlaça avec tendresse et peu à peu elle se détendait et lui rendait cette tendresse. Pour plonger soudain dans un tourbillon de troubles et de sensualité et d’extases durant toute la nuit.

Lorsqu’elle s’éveilla, il dormait encore, elle ne savait ni quelle heure il était, ni où elle était. Mais elle savait une chose, c’est qu’elle était morte de peur à l’idée de rentrer chez elle.

 

Retour à l'accueil

Délices et supplices d'Anaïs

  • : Délices et supplices d'Anaïs
  • Délices et supplices d'Anaïs
  • : Vous trouverez donc sur ce blog, l'évolution constante d'une Maîtresse, se livrant parfois à la soumission par ouverture d'esprit...! Et oui ! je ne suis pas conventionnelle, j'aime les nouvelles expériences, je suis ambigüe tant dans ma sexualité que dans le domaine du BDSM. Je vous invite dans mon Donjon particulier. Bienvenue dans ma demeure entrez de votre plein gré et laissez-y vos traces et marques qui resterons indélébiles sur les articles que vous aurez élu. Je me f
  • Contact
  • : Divers
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • : 11/10/2007

Le profil d'Anaïs

  • Délices et supplices d'Anais
  • Délices et supplices d'Anaïs
  • 19/12/1964
  • Femme
  • Célibataire
  • Et voici Anaïs en 2010. Cambrée comme il se doit, aguicheuse et savoureuse,taquine; mais tellement féline... Incroyablement impertinente, mais, tellement attachante. Votre hôte de ce donjon a trouvé son Maître très secret.
  • BDSM Soumission Domination Fetish

Délices et supplices d'Anaïs

  • : Délices et supplices d'Anaïs
  • Délices et supplices d'Anaïs
  • : Vous trouverez donc sur ce blog, l'évolution constante d'une Maîtresse, se livrant parfois à la soumission par ouverture d'esprit...! Et oui ! je ne suis pas conventionnelle, j'aime les nouvelles expériences, je suis ambigüe tant dans ma sexualité que dans le domaine du BDSM. Je vous invite dans mon Donjon particulier. Bienvenue dans ma demeure entrez de votre plein gré et laissez-y vos traces et marques qui resterons indélébiles sur les articles que vous aurez élu. Je me f
  • Contact
  • : Divers
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • : 11/10/2007

Le calendrier d'Anaïs

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

Derniers Coms d'Anaïs

Recommander le blog d'Anaïs

Comme Anaïs créer un blog erog

Images d'Anaïs

  • md12
  • 9782848719108
  • DSC03944
  • 53047759
  • escarpins
  • bonne-annee-2010fey-copie-1

Les recherches chez Anaïs

Syndication d'Anaïs

  • Flux RSS des articles

L'histoire d'Anaïs

 

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés