Délices et supplices d'Anaïs
Tu t'appelles Charles ?
Tu devrais savoir qui je suis ........
Non et si tu ne veux pas le dire, tant pis, moi je m'en fiche.
J'ai dit et je répète que les devinettes, ça me gonfle, donc !
non je ne m'apelle pas charles (sourire) ....et OUi je sais que tu n'aimes pas les devinettes ..... je l'apprends a mes depends depuis 2semaines deja
Voilà ce qui arrive quand on connait sa place, il n'est même pas besoin d'être attaché aux barreaux du lit.
On ne cherche pas à fuir, et on reste là où on doit être.
Oui mais les liens ajoutent du piment.
Les liens ... mmmm... toute une préparation psychologique, et l'occasion d'avoir de très jolies postures, résultat de l'envie "artistique" de celui ou celle qui les pose.
Etre façonné selon l'envie du moment... et ne pouvoir s'en défaire, quel plaisir :)))
Je pense que c'est une des clefs des multiples plaisirs que nous pouvons retirer du BDSM.
Je voudrais être une serrure :D
Et moi la géolière ?
Oui car je ne doute pas que vous ayez un trousseau de clés bien garni ;)
J'ai aussi des portes clefs intéressants.
Rhaaaaaa :P
L'image à elle seule est déjà excitante, mais alors là, ces quelques mots sont les clés des portes de l'imaginaire, et celles-ci sont en train de s'ouvrir en grand.
Tout est dans le cérébral, car si on se réfère à des livres érotiques sans images, on se les crée soit-même, et après l'excitation monte. :)
Après ?
Ne serait-ce pas plutôt "pendant" ? Le cerveau qui pétille au fur et à mesure de la lecture des mots ?
Possible.
Voire avant. L'esprit est tout à fait capable de se faire pétiller tout seul, parfois d'un coup au moment le plus inattendu :)
Oui c'est juste.
On en a la preuve sur les sites BDSM.
Je regarde bien, je ne dis rien, je garde ma place.....j'attend en silence que sur moi ton regard puisse encore se poser