Délices et supplices d'Anaïs
L'oisiveté est, dit-on, la mère de tous les vices, mais l'excès de travail est le père de toutes les
soumissions.
[
Albert Jacquard ]
Sam 1 mai 2010
2 commentaires
Le tout est de savoir si on bosse pour vivre ou si on vit pour bosser, mon cher Ami.
Délices et supplices d'Anais
ma banquière ne s'en ai pas encore rendue compte... mais mon choix est vraiment fait
Nunc oremus
Principino - le 04/05/2010 à 22h25
Pour moi c'est pareil.
Délices et supplices d'Anais
on ne se refait pas :
ORA ET LABORA
mais on ne fait pas que travailler, et on prie les Déesses que l'on veut/peut