Délices et supplices d'Anaïs
C'était un jour comme tant d'autres et Anaïs avait rendez-vous chez un gynécologue pour un contrôle de
routine.
Le rendez-vous avait été pris vite fait chez un médecin qu'elle ne connaissait pas car elle souhaitait en changer.
Elle se rendait à l'adresse indiquée, la bâtisse était vieille avec une immense porte en bois. Elle sonne, la porte s'ouvre, elle entre dans un très grand couloir au plafond haut, qui donne
des sensations d'échos, le couloir servait de salle d'attente, en face du cabinet du médecin, il y avait une petite pièce qui servait de bureau où se tenait une femme d'âge mûr qui s'affairait à
une machine à écrire faisant un bruit d'enfer.
Anaïs n'eût pas le temps de s'asseoir que la porte s'ouvre et le médecin l'invitait à entrer et à s'asseoir, elle n'a pas le temps de lui dire quoique ce soit, voilà qu'il entre dans un discours
très déroutant et quelque peu troublant...!
Elle n'était pas sûre d'avoir bien saisie, tellement son discours paraissait hallucinant. Il était question
que lui et d'autres médecins fassent partie d'une élite qui "palpent" les seins pour la prévention des cancer. Mais le ton qu'il utilisait était étrange, si étrange, qu'il semblait à Anaïs
qu'elle l'avait rêvé.
Après qu'il eu terminé ses explications, il l'invita à se rendre dans un petit espace fermé par de simples tentures foncées et usées, où elle devait se dénuder entièrement selon lui, elle lui
obéit, non sans hésitation, mais bon puisqu'il souhaitait faire un contrôle total, selon ses dires.
Une fois nue, alors qu'elle avançait dans la pièce pour aller s'installer sur la table, elle le surprit occupé à la détailler, mais pas avec un regard médical, mais un regard pervers et
c'est là qu'il lui fit signe de rester debout, qu'il se mit à tourner autour d'elle, et il lui dit :"Vous êtes bien bronzée, et vous avez de belles formes", suivit d'un hummmm...!
La jeune Anaïs rouge de honte était figée...
D'un geste de la main, il lui fit
signe de s'installer sur la table et de placer ses pieds dans les étriés et de mettre ses bras vers l'arrière. Il continuait contempler son corps de façon perverse, et il entreprit de lui
palper un sein, comme s'il s'agissait d'un examen classique, mais peu à peu, Anaïs sentait que les grandes mains de ce médecin d'âge mûr se balladaient sur les courbes; non plus en les
palpants mais en les frôlants, comme il aurait pu le faire avec deux pamplemousses saisis sur un étal de marché avant de s'en délecter.
Ses pointes se dressaient, elle aurait
voulu ne pas lui donner ce spectacle, mais il avait la dextérité d'un masseur qui connaissait par coeur
le corps de la femme...
Un "hum" de satisfaction sorti de la bouche de cet homme, mais il s'arrêtait là, comme s'il voulait laisser une frustration au désir montant d'Anaïs, quoique dans un sens, elle fût soulagée que
ce manège prennent fin, mais apparemment, ce n'était que temporaire. Car soudain elle sentit pénétré en elle quelque chose de métallique et froid qui n'était autre qu'un
spéculum qu'il écartait au maximum, puis il s'en alla rejoindre son bureau au lieu de s'occuper du frotis et de lui dire d'aller s'habiller, non !
Elle commençait à s'inquiéter vraiment lorsqu'elle remarqua qu'il semblait admirer se sexe offert et ouvert à souhait, et qu'elle était à sa merci. Bien qu'elle n'était pas attachée, il y avait cet sorte d'autorité à laquelle un patient se sent contraint d'obéir.
Une sorte d'abus de pouvoir s'installait, et elle se rendait à l'évidence qu'elle était à lui le temps de la consultation et ce malgré elle. Quand enfin, il se décidait à se lever, pour rejoindre la table où se trouvait Anaïs, elle ne savait pas si elle devait se sentir soulagée ou s'inquiéter encore plus. Il avait le rictus de quelqu'un qui avait encore plein de malices dans son sac.
Et voilà qu'il appelle la secrétaire qui se trouvait dans l'autre pièce...! Mais qu'allait-elle encore subir, cette pauvre Anaïs ?
A suivre.
Merci beaucoup pour vos encouragement.
Il est vrai que j'écris sur le vif, je vérifie pour les fautes, il se peut que je peaufine par ci, par là, afin d'éviter les répétions, et de voir si tout est cohérent et compréhensible.


et si l'inspiration ou la véracité venaient à vous faire défaut, j'enfile ma blouse