Délices et supplices d'Anaïs



Elle avait eu l'honneur de recevoir en cadeau d'être percée et annelée,
Et désormais, elle lui appartenait, son corps n'était plus à elle...


Il l'emmenerait chaque jour faire une jolie petite promenade,
Elle marchera au pas, au risque de se sentir tiraillée...et ramenée aux pieds.

Elle ressentait un doux plaisir, mêlée à de la crainte, et surtout de la honte...

Elle serait livrée à ceux que son Maître jugerait bon de l'offrir, il le lui avait dit avec une fermeté dans sa voix rauque et chaude, avec de la douceur aussi.

Elle en avait frissonné et frémis de désirs multiples et troublants, jusqu'à en perdre pied...

Une chose est certaine, elle ne reviendrait pas en arrière...



Anaïs Dessens
Mer 13 mai 2009 2 commentaires
belle photo de domination.
comment éviter cette scene ?
pratiquement obligatoire pour un plaisir à deux.
Maître OZ
Maître OZ - le 18/12/2009 à 12h30
Merci Maitre,

J'espère un jour être celle que vous aurez élu pour vivre cette scène.

Je vous embrass tendrement Maitre.

Anaïs votre KADO
Délices et supplices d'Anais

Il pimenta la chose le lendemain, lui faisant porter une robe latex très serrée et de très hauts talons qui la freinaient encore. Même chemin... et donc mêmes voyants fidélisés à la scène pour ricaner de sa déchéance.

Il marcha deux fois plus vite, elle devait accélérer pour garder la distance afin que la contrainte reste plaisir et ne devienne douleur atroce. Une chute et ils referaient un tour, elle le savait, et le trottinement de ses pas échauffaient ses lèvres intimes l'une contre l'autres Un plug en queue de cheval finissait de la ridiculiser et on ne savait si ce rouge aux joues était excitation, honte ou essoufflement... Trot... trop, trop !

Phelin - le 14/06/2010 à 18h15

Pour couronner le tout, ses escarpins étaient des Louboutins, juste une pointure trop petite, le chemin déformé par les pavés usés par les années d'existances, et glissants à cause d'une pluie récente.

 

Délices et supplices d'Anais